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Spectacle
Spectacle
23
Mai.
Espace Verger du Caire
Le Cendre
Les Frères Jacquard (Occitanie)

Evènement
Evènement
28
Jui.
Coulée Verte et coeur de Ville
Le Cendre
En partenariat avec les associations cendriouses

Publications

 

L'histoire du Cendre nous est essentiellement contée au fil des découvertes archéologiques réalisées sur le territoire.

Le Cendre autrefois 1
Le Cendre autrefois 2
Le Cendre autrefois 3
 

Si les premières traces de vie retrouvées remontent au néolithique, l’époque gauloise reste la mieux connue car elle a d’ores et déjà livré de nombreux vestiges.

La période gauloise


> La sépulture gauloise

En février 2002, à l’occasion de fouilles préalables aux travaux de contournement routier de l’agglomération clermontoise, une équipe d’archéologues met au jour, sur le site de Gondole, au lieu dit Les Piots, une sépulture associant huit cavaliers et leurs montures, pratique funéraire jusqu’alors inconnue.
Huit mois plus tard, dans une zone limitrophe avec Orcet, une équipe d’archéologues découvre cinq nouvelles fosses contenant exclusivement des chevaux. La disposition sur deux rangs, relevée dans la fameuse tombe des cavaliers est respectée.
Depuis, de nouvelles campagnes ont révélé que les fosses fouillées en 2002 n’étaient pas des cas isolés. Dix-neuf nouvelles fosses, contenant chacune une dizaine de chevaux ont été découvertes, parfois sous une couche végétale de seulement 40 cm.

> L’oppidum de Gondole

Avec Corent et Gergovie, Gondole est l’un des trois grands oppida du peuple arverne qui entourent l’actuelle ville de Clermont-Ferrand.
Cette véritable place forte, établie sur une terrasse de l’Allier, de forme triangulaire, s’étend sur une quarantaine d’hectares. Elle est naturellement défendue, à l’est, par l’Allier qui, à l’époque, longeait la falaise de Gondole et, au nord/nord-ouest, par l’Auzon. La fortification est complétée au sud et au sud-ouest par un énorme talus qui fait rempart, précédé d’un large fossé de 8 m de profondeur sur 30 m de large.
L’ensemble est, aujourd’hui encore, parfaitement visible. C’est dans ce fossé antique que passe la voie SNCF Clermont-Ferrand-Nîmes.
En 2005, des fouilles réalisées immédiatement en avant de la fortification, au lieu-dit Les Chaumes, ont permis de mettre au jour des vestiges qui attestent l’existence d’un quartier artisanal aux portes de la cité fortifiée de Gondole. La présence de nombreux fours indique d’ailleurs une spécialisation dans la production de la vaisselle céramique ; une production qui a pu revêtir un caractère semi-industriel.
L’ensemble du camp fortifié a été inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques, en 1989.

 

Le Moyen Age


> Le château de Gondole

Édifié sur l’oppidum de Gondole, la construction du château remonte au VIIème siècle. Un commerçant de Clermont, Gondolonus, père de Saint Priest, évêque de cette même ville, en serait à l’origine.
Jusqu’à la Révolution, Gondole relève juridiquement de la paroisse de Cournon. C’est donc le hasard des découpages administratifs qui rattache ce lieu chargé d’histoire à la commune du Cendre. Actuellement, le château appartient à un propriétaire privé.

> Le Fort

En 761, Le Cendre, bourgade de Basse Auvergne, existait déjà. La cité subit d’affreux ravages de la part de la puissante armée de Pépin le Bref, venu s’emparer de Clermont. Après avoir été mis à sac, le village se développe et devient un bourg fortifié, qui connut une aire de grande prospérité.

Le village du Cendre se compose alors de deux quartiers juxtaposés. L’un, appelé le Fort, de plan elliptique, occupe le sommet d’une butte (plus marquée à l’époque) et est structuré autour de l’église. L’autre, de plan linéaire, de part et d’autre d’une rue axiale, s’étire en direction de l’Auzon. Dans les deux quartiers, le dessin du parcellaire et l’implantation des maisons présentent une régularité qui suppose une volonté délibérée d’organiser l’espace selon un plan logique et rationnel.

Au XIIème siècle, Le Cendre et ses voisins Cournon et Pérignat sont la propriété d’un seul et même Seigneur : la famille Escot. Au milieu du XIIIème siècle, le village est agrandi et remodelé. Une charte, très libérale, garantit naturellement possession des biens et libertés individuelles, fixe peines et amendes, le montant des taxes diverses et prévoit l’utilisation des « pèdes » (emplacements à bâtir).
Le Cendre devient une bourgade active, qui compte de nombreux artisans (quincailliers, fabricants d’armes, etc.) et d’importants marchés et foires. A l’époque, le marché aux poissons du Cendre est l’un des principaux du pays. Les lacs de Sarlièves et Bonnet, qui s’étendent entre Cournon, Le Cendre, Orcet, Pérignat, Sarlièves et Gergovie, tous deux asséchés aujourd’hui, offrent une pêche des plus fructueuses.

Après l’extinction du long lignage des Escot, vers 1450, et suite à différentes successions, le Cendre échoit en 1705, aux sœurs Ursulines, qui cèdent, en 1789, la commune à ses habitants.

Rattaché à Orcet, en 1790, pour ne former qu’une seule commune, Le Cendre en est séparé, après plusieurs pétitions de ses habitants, le 26 avril 1835, par ordonnance de Louis-Philippe, Roi des Français.
Ancienne commune rurale et ancien bourg vigneron, Le Cendre a, au fil du temps, vu sa population augmenter fortement, passant de 552 habitants en 1936 à 4925 au recensement de mars 1999.
Sa proximité avec Clermont-Ferrand (moins de 13 km), sa facilité d’accès par le réseau routier et ferroviaire, sans oublier son appartenance à Clermont Communauté sont, pour la commune, autant d’atouts pour se développer et s’affirmer comme une petite ville ayant tout d’une grande. Commerces, écoles, équipements sportifs, aires de jeu… tous les équipements et services à la population y sont présents. Le tout dans un cadre environnemental encore bien préservé et qui fait l’objet de toutes les attentions.

 

 

La ville actuelle


> La ville actuelle

Ancienne commune rurale et ancien bourg vigneron, Le Cendre a, au fil du temps, vu sa population augmenter fortement, passant de 552 habitants en 1936 à 5 500 au recensement de janvier 2019. Sa proximité avec Clermont-Ferrand (moins de 13 km), sa facilité d’accès par le réseau routier et ferroviaire, sans oublier son appartenance à Clermont Auvergne Métropole sont, pour la commune, autant d’atouts pour se développer et s’affirmer comme une petite ville ayant tout d’une grande. Gare, commerces, écoles, équipements sportifs, aires de jeu… tous les équipements et services à la population y sont présents. Le tout dans un cadre environnemental encore bien préservé et qui fait l’objet de toutes les attentions.

 

> Origine du nom "Le Cendre"

La plus lointaine dénomination connue du CENDRE date du IXème siècle avec LISSANDRUM. Par dérivation, les noms successifs attestés furent ALEXANDRA aux Xème - XIème siècles, AUSSANDRA en 1211, ALSANDRA en 1268.
Mal compris, ce nom devint ensuite AU SANDRE, puis LE SANDRE en 1401, LE CANDRE en 1418, avant d’arriver progressivement à sa désignation actuelle.

> Armoiries

Blason DU CENDRE

« D’azur à l’épée d’argent garnie d’or posée en pal, accostée à gauche d’une couronne de lauriers d’or, et à droite d’une croix ancrée de même. »
La couronne de lauriers, emblème romain, symbolise le " camp de César " qui fut installé sur la commune et qui serait le grand camp du siège de Gergovie.
La croix ancrée est reprise sur les armes des seigneurs de Cournon, suzerains du Cendre en 1197, et plus anciens possesseurs du Château de Gondole.
Quant à l’épée, elle est l’attribut de Saint Priest, évêque de Clermont-Ferrand, que la tradition fait naître au Château de Gondole, au VIIème siècle.

 

Découvrez l’histoire de la commune au travers de l’ouvrage d’Alain Michel DOCROS "Le Cendre à travers les siècles, du XIe au XXe siècle". Livre disponible auprès de l’association Le Cendre Autrefois (Prix : 18 €). Pour tout renseignement, contacter Annick ROCHE, secrétaire de l’association, au 04.73.84.08.89

 

 

 

patrimoine 1
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> Le Château de Gondole

Le château de Gondole était une seigneurie indépendante du Cendre, auquel venaient s’ajouter un domaine et un moulin. Il ne reste quasiment plus rien de la première construction. Les parties les plus anciennes de la bâtisse actuelle datent du XIVème siècle. Il s’agit de soubassements et d’une tour intérieure qui abrite un escalier daté de 1392.
Un souterrain, aujourd’hui éboulé en grande partie, permettait par ailleurs d’accéder au cœur de l’édifice, depuis les berges de l’Allier.

> La Maison Junisson

Édifiée en 1889 par Jean Junisson, négociant et passementier au Cendre, elle est restée dans sa descendance jusqu’à son achat, en 1995, par l’Etablissement Public Foncier, pour le compte de la commune. Tout au long de l’année, la maison accueille des expositions d’artistes dans sa salle Paul Trilloux. L’artiste ayant donné son nom à cette salle, originaire du Cendre, a par ailleurs fait don à la commune de 16 tableaux.

> La Mairie

Construit en 1883, l’actuel hôtel de ville a, comme la plupart des mairies à l’époque, fait office d’école. Encore en 1964, il existait, au rez-de-chaussée du bâtiment, deux classes de section primaire, une pour les filles, l’autre pour les garçons. A l’étage se trouvait l’appartement des instituteurs, une grande salle pour la Mairie, ainsi qu’une petite pièce pour le bureau du Maire.
En 1968, une troisième classe est construite à côté du bâtiment, sur une partie du jardin entourant la Mairie. Actuellement, les locaux sont occupés par les services administratifs de la commune. La salle jouxtant la Mairie est, elle, utilisée par le monde associatif local.

> Eglise St Pierre

Au XIXème siècle, à l’occasion de l’entière reconstruction de l’église Saint Pierre, des fouilles (réalisées en 1851) révèlent la présence d’une ancienne église romane datant des XIème ou XIIème siècles, en lieu et place de l’actuel édifice. L’actuelle église, empreinte du style néogothique, présente un intérêt au niveau de sa statuaire, de nombreuses statues bénéficiant d’une inscription à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
Quant au clocher, il abrite deux cloches, l’une fondue en 1822 (diamètre 62 cm), l’autre, l’année suivante, en 1823 (diamètre 72 cm).

> Le Château de Montséjour

Les anciennes écuries sont, avec leur portail (impasse de l’Abreuvoir) et le Cèdre (à l’intersection de l’avenue de Lourme et de la route des Martres), les seuls vestiges du château de Montséjour, demeure de style renaissance, construite au XVIIème siècle, entourée d’un grand parc arboré et fleuri.
Propriété successive de plusieurs grandes familles locales, notamment les Petit de Montséjour (Jean,Pierre,Laurent, Félix Petit de Montséjour, Maire du Cendre de 1856 à 1871) et les Verdier de Latour (Edmond Verdier de Latour, consul de France), le château et ses occupants tenaient une place importante dans la vie du Village.
Restaurée en 1880, la bâtisse a continué de se détériorer au fil du temps. Finalement racheté par un promoteur, le château fut détruit à la fin des années 1960. Les terrains sur lesquels il s’étendait ont été vendus et ont permis la construction de plusieurs lotissements : La Saunière, à l’emplacement des vignes, Les Jardins de Lourme, à l’emplacement du château et de son parc. L’Espace Verger du Caire et l’ancien stade se situent, quant à eux, à l’emplacement des vergers.

> Les croix du Cendre

Dans les villages ou hameaux, tout au long des chemins, les croix sont autant de signes et de guides. Sous l’ancien régime, les habitants étaient nombreux à avoir la foi, et, pour matérialiser leurs croyances, ils érigèrent de nombreuses croix dans leur village. Ces croix pouvaient être en bois en pierre ou en métal. Découvrez le travail de recherche réalisé par l'association Le Cendre Autrefois sur LES CROIX DU CENDRE.

 

 

Depuis 2002, les terres cendriouses ont dévoilé beaucoup de leurs secrets. Chaque nouvelle campagne de fouille organisée sur le territoire communal voit la mise au jour de nouveaux vestiges, qui nous apprennent davantage sur les modes de vie de nos ancêtres, les Gaulois.

archeo 1
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archeo 3

> Les mystères de la cavalerie gauloise

Cette photo a fait le tour du monde et pour cause… En février 2002, à l’occasion de fouilles préalables aux travaux de contournement routier de l’agglomération clermontoise, une équipe d’archéologues de l’Inrap (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives) met au jour, sur le site de Gondole, au lieu-dit Les Piots, une sépulture associant huit cavaliers et leurs montures. Une pratique funéraire jusqu’alors inconnue. L’agencement des corps, tous placés sur le flanc droit, tête au sud, suscite aujourd’hui encore de nombreuses interrogations chez les spécialistes. D’autant que les squelettes ne portent aucune trace de traumatisme ayant provoqué la mort. L’analyse des ossements est en cours dans un laboratoire de Bordeaux.

Huit mois plus tard, au lieu-dit l’Enfer (Orcet), une équipe d’archéologues dirigée par Ulysse Cabezuelo (Inrap) découvre cinq nouvelles fosses contenant exclusivement des chevaux. La disposition sur deux rangs, relevée dans la fameuse tombe des cavaliers est respectée. Toutefois, chaque fosse dessine un motif sur cette trame unique, un cheval étant par exemple enterré à genoux dans l’une d’elles.
Depuis, de nouvelles campagnes ont révélé que les fosses fouillées en 2002 n’étaient pas des cas isolés. Dix-neuf nouvelles fosses, contenant chacune une dizaine de chevaux ont récemment été découvertes, parfois sous une couche végétale de seulement 40 cm.

> Une voie empierrée pour accéder à Gondole

Habité entre -70 et -20 avant notre ère, Gondole est l’un des trois grands oppida (ville fortifiée) d’Auvergne. Si une hypothèse confère une vocation militaire à Gergovie et religieuse à Corent, de récentes découvertes tendent à étayer la thèse que Gondole était une zone à caractère commercial. La fouille de l’intérieur des remparts de la cité permettrait incontestablement de confirmer ou d’infirmer cette théorie. Des anomalies de croissance constatées dans les blés révèlent la présence de vestiges archéologiques dans la zone interne de l’oppidum, qui reste pour l’heure inaccessible. Les archéologues doivent donc limiter leurs recherches aux seuls faubourgs, où les découvertes sont déjà nombreuses ! Une voie empierrée de 6 m de large menant à Gondole a ainsi été découverte. De part et d’autre, elle était bordée d’un fossé palissadé.

> Un oppidum parfaitement protégé

L’oppidum de Gondole présente une fortification massive composée d’un rempart précédé d’un fossé. En septembre 2005, sous la responsabilité de Yann Derberge, une équipe d’archéologues de l’ARAFA (Association sur la Recherche de l’Age du Fer en Auvergne) a mené une opération de reconnaissance archéologique sur une parcelle située immédiatement en avant de la fortification, au lieu dit Les Chaumes. Aujourd’hui comblé, le fossé défensif devait à l’origine atteindre 8 m de profondeur sur 30 m de large. La masse de terre considérable déplacée lors de son creusement (135 000 m3 environ) a servi à l’édification du rempart qui, lui-même, devait initialement dépasser les 6 m de hauteur et s’étendre sur 50 m de largeur.

> Une zone artisanale vieille de 2000 ans

En avant de la fortification, les sondages de l’ARAFA ont permis la mise au jour de vestiges qui attestent l’existence d’un quartier artisanal aux portes de la cité fortifiée de Gondole : scories, déchets liés au travail de l’os, lissoirs en pierre… La présence de quatre fours (4 fours sur une surface dégagée inférieure à 1 000 m2, soit probablement près de 60 fours sur la totalité de la parcelle) indique toutefois une spécialisation dans la production de vaisselle céramique (assiettes, cruches, jattes) ; une production qui a pu revêtir un caractère semi-industriel.

> Des témoins d’un mode de vie…

Les autres structures mises au jour renvoient principalement au domaine domestique. De nombreux puits ont été retrouvés. Leur comblement, généralement constitué de déchets domestiques, livre parfois des surprises, comme ce dépôt d’amphores, qui atteste d’une consommation de vin importé d’Italie et d’Espagne.
Une cave a également été mise au jour. Elle se présente sous la forme d’une fosse rectangulaire, de 7,80 m de long sur 4,80 m de large, d’une profondeur initiale de 1,60 m minimum. Des escaliers, simplement creusés dans la grave, permettaient d’y accéder. Il semblerait que cet aménagement ait été détruit au cours d’un incendie avant d’être entièrement refait.

Parmi les quelques 36 000 objets trouvés, la faune nous renseigne sur les modes alimentaires de la population, qui consommait, pour l’essentiel, du porc, mais aussi du bœuf et, plus surprenant, du chien. Ont également été retrouvés des objets cosmétiques (pinces à épiler, cures oreilles…), ciseaux, bijoux de bronze et de fer…

 

190 chevaux et plus de 36 000 objets découverts en 2005… le site de Gondole n’est décidément pas avare en vestiges archéologiques. Et seulement 4 hectares des 70 sur lesquels s’étend Gondole ont à ce jour été fouillés. Les dernières campagnes réalisées par l’Inrap et l’ARAFA ont certes été fructueuses, mais une grande partie des secrets de l’ancienne cité sommeillent à l’intérieur même des remparts, interdits pour l’heure aux archéologues. Toutefois, le sondage des « faubourgs » de Gondole devrait nécessiter encore quelques années.

Inrap (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives)
ARAFA (Association pour la Recherche sur l’Age du Fer en Auvergne)

 

 

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7, rue de la Mairie
63670 LE CENDRE

 

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Horaires d’ouverture au public

Du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h30
et de 14h à 17h

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